La distance Terre-Lune fut donnée en unité du rayon de la Terre. Le voyage le plus rapide de l’histoire a été réalisé au cours de la mission “New Horizons” par la fusée Atlas V capable d’accélérer à la vitesse de 16,26 km /s, avec une telle performance, il n’aura que 8 heures et 35 minutes . Celestial Mechanics and Dynamical Astronomy, The Daily Galaxy --Great Discoveries Channel, Une bonne explication de la méthode figure dans, http://curious.astro.cornell.edu/question.php?number=124, http://eclipse.gsfc.nasa.gov/SEhelp/ApolloLaser.html, http://isotope.colorado.edu/~geol5700/Bills_1999.pdf, http://serge.mehl.free.fr/anx/dist_terr_lun.html, https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Distance_lunaire&oldid=182030270, Portail:Sciences de la Terre et de l'Univers/Articles liés, licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes conditions, comment citer les auteurs et mentionner la licence. En raison de son orbite elliptique avec une excentricité variable, la distance instantanée varie avec une périodicité mensuelle. La vitesse de la Lune n’est pas si simple à calculer: La vitesse orbitale est de 1,022km/s, mais si vous multiplier cette vitesse par 27,3 jours vous vous apercevrez que vous n’avez pas fait le tour complet de la Terre.. La Terre tournant autour du Soleil en 27,3 jours il vous faudra encore 2,2 jours pour finir le tour de la Terre et vous retrouver dans la même position vis à vis du Soleil. En observant la géométrie d'une éclipse lunaire, la distance lunaire peut être calculée en utilisant la trigonométrie. Jusqu'à la fin des années 1950, toutes les mesures de distance lunaire étaient basées sur des mesures angulaires optiques. J.-C.. Il utilisa l'observation d'une éclipse de Lune pour calculer la distance Terre-Lune en fonction du rayon de la Terre (inconnu de lui). Or la Lune a besoin d'un mois (700 heures) pour faire un tour complet autour de la Terre. Aristarque de Samos calcula l’éloignement de la Lune en observant le passage de l’ombre de la Terre sur le disque lunaire[19],[20]. La Lune s'éloigne de la Terre à une vitesse moyenne de 3,78 cm par an, d'après le Lunar Laser Ranging Experiment[2],[3],[4]. En astronomie, la distance lunaire est la distance moyenne entre le centre de la Terre et le centre de la Lune, qui vaut 384 400 km[1]. Pourtant le nombre de Kilomètres qui séparent la terre à la Lune n’influence en aucune manière la durée nécessaire pour pouvoir se rendre sur ce satellite. Pour une précision accrue, certaines erreurs systématiques doivent être prises en compte telles que la correction de l'angle mesuré pour tenir compte de la réfraction et de distorsion de la lumière à travers l'atmosphère. Des impulsions radar d'une durée de 5 ms ont été transmises avec une puissance de crête de 2 mégawatts à un taux de 260 impulsions par seconde. L'ère spatiale a marqué un tournant qui a permis d’améliorer considérablement la précision et l'exactitude de cette mesure. Il serait bientôt possible pour un particulier de se rendre sur la Lune, pour la modique somme de 15 000 dollars. Elles arrivent donc directement sur le sol lunaire, brisant les noyaux des atomes et occasionnant des mini réactions nucléaires en chaîne, libérant encore plus de rayonnement sous la forme de neutrons énergétiques. La vitesse d'éloignement actuelle est considérée comme anormalement élevée[5]. La synchronisation peut être coordonnée en effectuant des mesures à un moment prédéterminé ou lors d'un événement observable à toutes les parties. L'exploration de la Lune commence avec le lancement des premiers programmes spatiaux dans les années 1950. L'expérience a été répétée en 1958 au Royal Radar Establishment en Angleterre. Les autres planètes du système solaire sont responsables de perturbations infimes de même que les astéroïdes, les forces de marée et les effets relativistes[11]. Il existe des preuves géologiques que la distance lunaire moyenne était d'environ 52 R⊕ (rayon terrestre) pendant l'ère précambrienne, soit il y 2 500 millions d'années[14], contre environ 60R⊕ aujourd'hui. En outre, la distance est perturbée par les effets gravitationnels de divers corps célestes - la plus significative étant celle du Soleil et dans une moindre mesure celle de Jupiter.