Le lanceur Kuaizhou d'une capacité de 400 kg en orbite basse a été lancé pour la première fois en 2013. L'engin spatial comprend un orbiteur, un atterrisseur et un satellite placé au point de Lagrange L2 du système Terre-Lune utilisé pour relayer les communications entre le sol lunaire et la Terre. Les principaux lanceurs sont : Comme l'Inde, la Chine a d'énormes besoins qui peuvent être couverts par les systèmes spatiaux. Outre cette base offshore, citons par exemple son système de navigation par satellite BeiDou, pleinement opérationnel depuis juin, ou encore l'alunissage de son rover Change'-e4, le premier engin ayant foulé la surface cachée de la Lune. Le deuxième étage utiliserait deux YF-100K et le troisième étage deux ou trois moteurs YF-75[33]. Les Américains, en revanche, en font une fixation. Plusieurs versions dont une utilisée pour les missions habitées, Première génération des Longue Marche. Le premier satellite géostationnaire de première génération FY 2A a été placé en orbite 1997 après une tentative infructueuse en 1994. La Chine a un plan de développement ambitieux qui comprend à court terme la réalisation d'une station spatiale en orbite basse, l'envoi de robots à la surface de la Lune ainsi que le développement d'une nouvelle famille de lanceurs développée à partir de composants mis au point pour son premier lanceur lourd Longue Marche 5 dont le premier vol a eu lieu le 3 novembre 2016. C'est pourquoi la Chine est en train de construire une nouvelle base de lancement sur l'île de Hainan au sud du Pays. Il rapporte des « progrès substantiels ». Alors que l'option est intégrée sous macOS, elle ne l'est pas sous Windows. Le sujet n'est à nouveau abordé par les responsables chinois qu'en 1994 à la suite du succès de la sonde spatiale Hiten lancée par le Japon, qui démontre que l'exploration lunaire n'est pas un monopole des deux principales puissances spatiales. Satellites en orbite héliosynchrone, Deuxième génération des Longue Marche. « Je sais que cette obsession de la présence chinoise existe. Le satellite a décollé à bord d'une fusée Longue Marche-4C depuis la base de lancement de Xichang (sud-ouest du pays). Deux satellites civils lancés en 1994 et 1997 utilisant cette plateforme avec un échec au lancement et une durée de vie abrégée pour le suivant. Par ailleurs des études de faisabilité d'une dizaine de missions scientifiques sont lancées. La deuxième série a commencé à être déployée en 2011 (HY-2A) embarque un altimètre, un scattéromètre et un imageur fonctionnant en micro-ondes. Au cours de la dernière décennie les lancements se font avec une fréquence très rapprochée (31 satellites entre 2006 et 2017) [53]. Le vaisseau a une configuration classique avec un module pressurisé de forme conique où se tient l'équipage et un module de service cylindrique. La Chine développe une station spatiale de grande taille (60 tonnes) baptisée Grande station spatiale modulaire chinoise. La sonde spatiale d'une masse totale de 4,9 tonnes, baptisée Tianwen-1, est lancée sur sa trajectoire interplanétaire en juillet 2020 par le lanceur lourd Longue Marche 5[91],[92]. Celui-ci est subdivisé en trois domaines : technologie, applications et science. Le lanceur, qui peut placer une masse de 1,4 tonne en orbite de transfert géostationnaire, effectue son premier vol en 1984[7]. La station spatiale chinoise est une station spatiale habitée construite et opérée indépendamment par la Chine. Galaxy Tab A7 : Où acheter la tablette tactile de Samsung au meilleur prix ? Mais c'est surtout la troisième génération utilisant la plateforme DFH-3 développée en coopération avec la société allemande MBB qui permet la mise à disposition de satellites ayant des capacités opérationnelles notables. L'Armée chinoise a cherché à se doter très tôt d'un système de positionnement analogue au système GPS développé par les Américains. Au cours de la décennie, les réalisations du programme spatial chinois continuent à être mis en avant par les dirigeants comme la preuve de la réussite du socialisme chinois. Néanmoins, le premier bâtiment de la série Yuan Wang destiné au suivi des trajectoires des missiles, lanceurs et satellites entre en service en 1979. La mission Chang'e 4 a pour objectif d'atterrir sur la face cachée de la Lune et d'explorer sa surface. Les premiers éléments de ce programme lunaire sont toutefois dès à présent visibles à travers le développement d'un nouveau vaisseau spatial, remplaçant du vaisseau Shenzhou. La Chine dispose en 2020 de quatre bases de lancement qui sont toutes sous la coupe de la Force du soutien stratégique de l'Armée populaire de libération et depuis juin 2019 d'une base de lancement flottante, déployée en mer Jaune[28] : Les capacités offertes par ces bases sont les suivantes : Jusqu'en 2016, la Chine utilise pour ses lancements la famille de fusées Longue marche (Chang Zheng abrégé CZ) qui permet de placer en orbite basse jusqu'à 12 tonnes. Ces satellites de télécommunications doivent permettre, à l'image des TDRSS américains et de l'Artemis européen, d'assurer une couverture radio entre les vols spatiaux habités en orbite basse et la Terre et remplacent un réseau extensif de stations terrestres. Comment protéger un dossier par mot de passe sous Windows et macOS ? Des versions de plus en plus puissantes sont développées : la 3B permet ainsi de lancer 5,1 tonnes en orbite de transfert géostationnaire. Le vaisseau Shenzhou a des caractéristiques très proches du vaisseau Soyouz. Chang'e 6, une mission analogue à Chang'e 5, qui doit être lancée vers 2023/2024, pourrait recueillir des échantillons de sol au niveau du pôle sud ou sur la face cachée de la Lune[84]. la CZ-5, qui vole pour la première fois en 2016 porte la capacité de lancement chinoise à 25 tonnes en orbite terrestre basse, 13 t en orbite héliosynchrone et 14 t en orbite de transfert géostationnaire. Les autorités chinoises soit passent sous silence les objectifs des satellites concernés soit leur attribuent une finalité civile. L'architecture mixte des solutions retenues par CST-100 Starliner et Crew Dragon : les parachutes sont stockés à la base de la capsule pressurisée (Dragon), la propulsion est logée dans le module de service (CST-100) et l'atterrissage s'effectue sur terre à l'aide d'airbags gonflables (CST-100). En 2005 (équipage de 2 astronautes), 2008 (première sortie extravéhiculaire). Chang'e 7 est une sonde spatiale de 8,2 tonnes qui doit se poser près du pôle sud, dont l'intérêt est lié à la présence de poches de glace d'eau. Au début des années 2000, la série des Ziyuan 2 constitue, semble-t-il, la première génération de satellites de reconnaissance moderne. Le premier vol du lanceur FB 1 a lieu le 10 août 1972 mais c'est un succès partiel. La nouvelle génération en cours de développement FY-4x devrait être stabilisée 3 axes. Chang'e 4 est lancé le 8 décembre 2018[84] et alunit le 2 janvier 2019 pour mener une exploration de la région avec son rover. Le projet a été reporté sine die à la suite du retrait du Canada[100]. L'étape suivante est la réalisation d'une station spatiale. La version plus lourde (20 tonnes) permettrait d'emmener un équipage au-delà de l'orbite basse. Quatre satellites (trois sont suffisants) utilisant la plateforme DFH-3 - BD 1A à BD 1D - ont été lancés entre 2000 et 2007 (le dernier lancement a été un échec). Le programme spatial chinois effectue une grande avancée avec le lancement de la sonde spatiale Chang'e 3 le 1er décembre 2013 qui emporte un astromobile (rover) baptisé Yutu[81] et qui se pose le 14 décembre de la même année dans la mer des Pluies pour une mission d'une durée de 3 mois[82]. « lorsque le satellite monte, le drapeau rouge descend », Satellite Observation - Observing Earth Observation satellites, Dernière modification le 3 mai 2021, à 20:36, musée militaire de la Révolution du peuple chinois, Institut de mécanique et d'électricité de Shanghai, relations entre la Chine et l'Union soviétique se détériorent, Académie chinoise des technologies des lanceurs, Académie des technologies spatiales de Shangaï, Administration d'État pour la Science, la Technologie et l'Industrie de la Défense nationale, Société de sciences et technologies aérospatiales de Chine, Centre de contrôle et de commandement aérospatial de Pékin, Administration spatiale nationale chinoise, Agence chinoise des vols spatiaux habités, Administration d’État pour la Science, la Technologie et l’Industrie de la Défense nationale, ministère de l'Industrie et des Technologies de l'information, ministère des Sciences et des Technologies, Centre National de Télédétection de Chine, China Aerospace Science and Industry Corporation, Centre chinois de lancement et de poursuite, Force du soutien stratégique de l'Armée populaire de libération, missions d'exploration du système solaire, Grande station spatiale modulaire chinoise, vaisseau avec équipage de nouvelle génération, vaisseau spatial habité chinois de nouvelle génération, mission de retour d'échantillons martiens, Solar Wind Magnetosphere Ionosphere Link Explorer, Magnetosphere-Ionosphere-Thermosphere Coupling Exploration, China Aerospace Science and Technology Corporation, China's Shenzhou 11 blasts off on space station mission, Ministère des Affaires étrangères et européennes, Le Monde, dépêche AFP du dimanche 15 janvier 2012 à 19h58, Site officiel de l'agence spatiale chinoise, Présentation du programme chinois d'astronomie spatiale en 2015, https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Programme_spatial_de_la_Chine&oldid=182555378, licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes conditions, comment citer les auteurs et mentionner la licence, Première génération des Longue Marche. En 1995, des accords sont passés entre la Russie et la Chine portant sur l'acquisition des technologies du vaisseau russe Soyouz ainsi que l'achat d'exemplaires du vaisseau, de systèmes de support-vie, d'amarrage et de combinaisons spatiales. Les satellites FSW utilisent la technique des capsules récupérables : une fois les images stockées sur une pellicule photo, celle-ci est renvoyée sur Terre dans une petite capsule qui a la capacité de survivre à une rentrée atmosphérique[52]. Le projet Double Star mené en coopération avec l'agence spatiale européenne se traduit par le lancement de deux satellites en 2003 et 2004 chargés d'étudier les interactions entre le vent solaire et la magnétosphère[95]. Il s'agit de l'excellente Samsung Galaxy Tab A7 vendue à partir de 184,99€. Le premier vol est planifié pour 2020[32]. La première sonde spatiale chinoise Chang'e 1 est placée en orbite autour de la Lune en novembre 2007. La mise en place d'un programme de vols spatiaux habités sous-tendue par un premier rapport d'experts et la création d'un institut de recherche voué à la médecine spatiale en 1968, se concrétise en 1971 avec le lancement du projet 714 dont l'objectif est de placer sur orbite le premier astronaute chinois en 1973. La mission qui s'achève en mars 2009 avec l'écrasement contrôlé de la sonde spatiale à la surface de la Lune est un succès total sur les plans scientifique et techniques[12]. Une fois opérationnel, ce site sera utilisé pour le lancement de véhicules légers, mais aussi la construction et l'entretien de fusées, satellites et autres engins spatiaux. En 2006, le CNSA propose le programme HDEOS d'observation de la Terre par satellite qui est approuvé par le gouvernement chinois en 2010. La Chine devient la troisième nation spatiale après l'Union soviétique et les États-Unis capable de lancer des hommes dans l'espace. La première génération d'une masse de 1 450 kg est placée sur une orbite héliosynchrone comprend trois satellites lancés entre 1999 et 2007. Le lancement par une fusée Zenit, prévu initialement en 2009, a finalement lieu le 8 novembre 2011 en profitant de l'ouverture de la fenêtre de lancement suivante vers Mars. Le lancement de Chang'e 1, qui a lieu le 24 octobre 2007, fait partie d'une vague d'engins spatiaux d'origine asiatique qui viennent réactiver l'exploration de la Lune et démontrent les ambitions de ces nouvelles puissances spatiales. La Chine a annoncé en 2018 par des canaux non officiels qu'elle prévoyait d'envoyer d'ici dix ans des astronautes chinois à la surface de la Lune. La deuxième mission utiliserait un module lunaire disposant d'une capacité d'emport fortement accrue et s'appuierait sur une station spatiale en orbite autour de la Lune[77]. En 2005 elle lance le développement d'une mission ambitieuse, baptisée Phobos-Grunt, qui doit ramener des échantillons du sol de Phobos, une des deux lunes de Mars. Wang Xiaojun, directeur de l'Académie chinoise de technologie des lanceurs (CALT), a récemment visité l’installation. Pour cette année 2020, déjà 26 lancements ont eu lieu malgré la pandémie de Covid-19. Deux lanceurs ont été retirés très tôt du service : Au début des années 2000, la Chine utilise toujours sa première génération des lanceurs (Longue Marche 2, 3 et 4) dérivés de missiles balistiques intercontinentaux. Toutefois l'échec du deuxième vol du lanceur Longue Marche 5 semble avoir entraîné un report du projet reposant sur CZ-9. Soyez toujours courtois dans vos commentaires. Les sondes spatiales baptisées IHP (Interstellar Heliosphere Probe) ont pour objectif principal d'explorer l'héliosphère et l'héliopause, région de l'espace qui sépare la zone sous influence du vent solaire et l'espace interstellaire. La Révolution Culturelle, déclenchée par Mao Zedong pour reconquérir le pouvoir, est à l'origine entre 1966 à 1969 de campagnes de harcèlement des intellectuels par les gardes rouges ; celles-ci touchent les chercheurs et ingénieurs travaillant dans le domaine spatial et désorganise celui-ci ; la hiérarchie des compétences est remise en question et les contrôles qualité ne sont plus respectés[N 2]. Espace – La Chine a lancé une fusée avec un vaisseau spatial. La fusée Y5 Long March-5, transportant la sonde lunaire Chang’e-5, décolle du centre de lancement spatial de Wenchang, à Wenchang, province de Hainan, Chine, le 24 novembre STR / … Au début des années 1970, la Chine lance des satellites d'observation Fanhui Shi Weixing (FSW) à vocation à la fois civile et militaire. Orbiteur lunaire. Développé pour ravitailler les stations spatiales chinoises Tianzhou a une masse à sec d'environ 13 tonnes et est capable d'emporter environ 6,5 tonnes de fret. La Chine développe au début de la décennie 2010 la mission de retour d'échantillons lunaire Chang'e 5 dont l'objectif est de ramener 2 kilogrammes de matière lunaire. Ils sont situés à Jiuquan (nord-ouest de la Chine), Taiyuan (nord), Xichang (sud-ouest) et sur l'île de Hainan. Il peut s'amarrer de manière automatique à la station spatiale et est détruit à son retour durant la rentrée atmosphérique[72]. Le missile intercontinental DF-4 en cours de développement sert de point de départ pour le développement du lanceur léger Longue Marche 1 capable de placer 0,5 tonnes en orbite basse. Celle-ci comprend quatre nouvelles missions scientifiques dont le lancement doit intervenir à partir de 2020 : GCAM (détection de la contrepartie électromagnétiques des ondes gravitationnelles), SMILE (étude de la magnétosphère terrestre) en collaboration avec l'Agence spatiale européenne, Einstein (télescope à rayons X mous pour la détection des objets transitoires) et ASO-S un observatoire solaire[19]. Les satellites FSW à capsule récupérable ont été utilisés entre 1974 et 1995 à la fois à des fins civiles et militaires. Le programme spatial de la république populaire de Chine a accompagné l'essor économique très rapide du pays durant les années 1990. Demain, de l’électricité (vraiment) sans fil ? L'échéance du programme lunaire chinois semble se situer en 2030 ou au delà. Le nouveau système devrait être complètement déployé vers 2020. Mais la manœuvre suivante consistant à injecter la sonde spatiale sur une orbite de transfert vers Mars n'est pas déclenchée sans doute à la suite de la défaillance d'un équipement de Phobos-Grunt. Avis RED by SFR : est-ce le meilleur forfait mobile sans engagement ? La famille comprend trois lanceurs de puissances différentes qui mettent en œuvre des moteurs modernes (YF-100 et YF-77) brûlant un mélange kérosène/oxygène liquide ou hydrogène liquide/oxygène liquide. Mais cet objectif requiert la disposition des lanceurs de la nouvelle génération, seuls capables de placer en orbite les masses nécessaires. Par ailleurs un projet. La politique d'ouverture politique et économique, qui s'oppose à la stratégie de développement préconisée par Mao s'appuyant sur des ressources purement nationales, se traduit dans le domaine spatial par l'achat de technologies à l'étranger et la mise en place de programmes de coopération avec de nombreux pays. De manière symbolique, la Chine dépasse en 2011 pour la première fois les États-Unis par le nombre de lancements dans l'année, avec 19 tirs effectués (un seul échec) contre 18 seulement (un échec également) pour les Américains. RED by SFR est la branche low cost de l'opérateur SFR. La Chine a cherché très tôt à développer sa propre famille de satellites de télécommunications en orbite géostationnaire, les Dong Fang Hong (L'Orient est rouge). La planète Mars fait partie des destinations étudiées par le Projet 863 (en) mis sur pied vers 2003 et consacré aux projets d'exploration du système solaire. Chaque module serait placé en orbite par la lanceur Longue Marche 5 qui a effectué son vol inaugural en 2016. Une sonde spatiale jumelle Chang'e 2 est lancée le 1er octobre 2010 et atteint la Lune en cinq jours grâce à un lanceur plus puissant. Cette réalisation témoigne bien de l’ambition de l’empire du Milieu pour tout ce qui touche à l’astronautique. 105 sont encore opérationnels. Les Chinois n’ont aucun problème à cohabiter avec les Occidentaux à Djibouti, à condition qu’on ne vienne pas constamment espionner leurs installations. Orbiteur martien perdu au lancement de Phobos-Grunt. Tiangong-2 est ravitaillé en avril 2017 avec succès par le cargo spatial Tianzhou 1, qui effectue son vol inaugural à cette occasion[71]. Le lancement d'un satellite artificiel fait partie des objectifs inscrits dans la politique du Grand Bond en avant déclenchée par Mao Zedong en 1958 qui vise à rattraper le retard sur les pays occidentaux en 15 ans grâce à la mobilisation des masses. Qian Xuesen chercheur de haut niveau ayant travaillé sur les programmes de missiles et de lanceurs américains est autorisé à rentrer en Chine en 1955 après de longues négociations entre les gouvernements américain et chinois et joue un rôle fondamental dans la fondation du programme des fusées chinoises en prenant la tête de la Cinquième académie. Observation de la surface des océans terrestres, Détection contrepartie électromagnétiques des ondes gravitationnelles, Étude de la magnétosphère en coopération avec l'Agence spatiale européenne, Détection et étude des sursauts gamma et autres objets transitoires (avec le CNES), Constellation de satellites pour l'étude de la magnétosphère, Télescope rayons X en collaboration avec plusieurs pays européens, Observation d'exoplanètes par la méthode de l'astrométrie, Observation d'exoplanètes par interférométrie. Ces satellites baptisés Feng-Yun (Vents et nuages) ont un numéro impair pour les satellites à défilement et un numéro pair pour les satellites géostationnaires. Les principaux acteurs institutionnels dans le domaine spatial chinois sont[26] : L'industrie spatiale chinoise comprend à la fois des entreprises détenues par l'État chinois (CASTC et CACIS) et des sociétés privées. Trois missions scientifiques sont développées en coopération avec d'autres agences spatiales. Mais les moyens financiers correspondant ne sont débloqués qu'en 2007. ⋅. Un lanceur de capacité intermédiaire (70 tonnes) serait en développement et permettrait d'atteindre les mêmes objectifs en mettant en place une station spatiale lunaire à l'image de ce qui est envisagé pour le programme Artemis de la NASA. Plusieurs des cas concernaient le Québec. Ces satellites assurent une couverture optique permanente destinée à la prévention et au suivi des catastrophes majeures. La deuxième génération d'une masse de 2,2 tonnes et stabilisée trois axes, est en cours de déploiement avec deux satellites lancés en 2008 et 2010 et un trois satellite planifié en 2012 (durée de vie quatre ans). L’Académie des sciences chinoise a la responsabilité de concevoir le satellite et mettre en place le réseau de stations au sol. La construction du satellite d'observation lourd FSW (Fanhui Shi Weixing c'est-à-dire satellite récupérable en chinois) est lancée ; cet engin spatial à usage mixte civil/militaire (satellite de reconnaissance dans sa version militaire) comprend une capsule qui revient sur Terre avec le film photographique. Cartographie de la surface. L'accord avec la Chine est signé le 26 mars 2007. Chaque sous-série porte une désignation militaire JianBing suivie d'un numéro abrégé en JB-x. Le gouvernement chinois décide en 2014 d'ouvrir l'activité du lancement de satellites à la concurrence. Ce projet est abandonné en 1992 au profit du projet 921. La Chine lance le module de base Tianhe de sa station spatiale ---La Chine a envoyé jeudi dans l'espace le module de base de sa station spatiale, donnant le coup d'envoi d'une série de missions de lancement clés qui visent à achever la construction de la station spatiale d'ici la fin de … Le service de Cloud computing français Shadow Alors que les excès de la Révolution Culturelle s'estompent, la Chine teste secrètement son premier lanceur le 1er[3], 4 ou 16 novembre 1969, cela sera un échec[4]. Ce lancement intervient dans le cadre des préparatifs de Pékin pour déployer dans six ans une station habitée dans l'espace, a annoncé mercredi 14 septembre 2016 l'agence Chine nouvelle. Le studio 4A Games vient d'officialiser la sortie de Metro Exodus Le CNSA (Agence spatiale nationale de la Chine) est chargée de définir, à l'image des agences spatiales étrangères, la stratégie spatiale de la Chine. En 1956, la décision de développer un programme de missiles balistiques est prise. La mise en place devrait débuter en 2020 et la station spatiale devrait être opérationnelle en 2022. Après avoir achevé sa mission primaire en juin 2011 la sonde spatiale, qui reste en parfait état de marche, est utilisée pour valider les capacités des contrôleurs de mission dans le domaine de la navigation spatiale. Les réformes de Deng Xiaoping du début des années 1980 avaient touché l'organisation de l'industrie de la défense chargée jusque-là du domaine aérospatial et avait abouti en 1982 à la création d'un ministère de l'Industrie spatiale transformé à compter de 1988 en un ministère de l'industrie aérospatiale pour augmenter la synergie entre les industries aéronautiques et spatiales. Dans le souci d'une plus grande efficacité, deux nouvelles entités remplacent à compter du 22 avril 1993 le ministère. Depuis 2015, date d'ouverture du marché des lancements spatiaux à la concurrence privée, une dizaine de start-up chinoises se sont lancées dans la réalisation de micro-lanceurs basés généralement sur des étages de missiles existants. La CNIL avait mise en demeure EDF et Engie quant à leur gestion de la collecte des données des consommateurs par les compteurs Linky Ce système, baptisé Beidou moins sophistiqué que le GPS repose sur une constellation de satellites géostationnaires. Connexion via Google, Facebook, Twitter ou Github, Décollage test réussi pour le nouveau modèle de fusée chinois et sa future capsule habitée, un lanceur Long March 11 a déjà été lancé, station de recherche scientifique sur la Lune, The Division : Ubisoft annonce un opus free-to-play et un épisode mobile. Onze lancements en deux ans. Le Bureau d'État de la Mer lance des satellites d'observation des océans de la famille Haiyang (Océan). L'objectif est d'utiliser les revenus générés par cette activité pour financer l'amélioration progressive des lanceurs chinois. Il existe plusieurs opérateurs de satellites chinois utilisant des satellites d'origine nationales ou non : China DBSat et ChinaSatcom sont des sociétés détenues par l'état chinois tandis que APT Group et AsiaSat sont des sociétés privées basées à Hong Kong. Ils sont situés à Jiuquan (nord-ouest de la Chine), Taiyuan (nord), Xichang (sud-ouest) et sur l'île de Hainan. Le premier vol le 27 octobre 2018 est un échec. En 2019, la Chine est premier rang en termes de lancement. Les lanceurs spatiaux dans le monde. Mais certaines de ces sociétés ont des objectifs plus ambitieux et développent leurs propres étages et système de propulsion comme LandSpace qui développe Zhuque-2 une fusée à ergols liquides pouvant placer 4 tonnes en orbite basse[25]. Celui ci s'accompagne de l'inauguration de la base de lancement de Wenchang située en bord de mer à une latitude méridionale mieux placée pour les lancements en orbite géostationnaire et de manière générale limitant les risques liées aux retombées des corps de fusée. Le premier missile balistique intercontinental chinois est tiré avec succès à sa portée maximale en mai 1980[6]. L'atterrisseur emporte un astromobile et un petit drone pouvant prendre de la hauteur pour obtenir des images permettant de fournir un contexte aux observations ou éventuellement repérer la présence de glace d'eau. Lancée en 2011, cette marque est avant tout une réponse à la montée rapide de Free qui cassait à l'époque les prix de ses forfaits. Ces sociétés bénéficient d'une aide à la fois de l'agence nationale chargée de superviser les développements dans le domaine spatial (l'Administration d'État pour la Science, la Technologie et l'Industrie de la Défense nationale ou SASTIND) et du principale groupe industriel national impliqué dans le secteur spatial, la Société de sciences et technologies aérospatiales de Chine (CASC). Dans le cadre du 12e plan quinquennal, il annonce la réalisation de cinq missions scientifiques ambitieuses (DAMPE, HXMT, QUESS, ShiJian-10 et KuaFu) qui doivent être placées en orbite entre 2015 et 2017. Il est prévu que des équipages de 3 personnes y séjournent 6 mois en étant ravitaillés par le vaisseau cargo Tianzhou. La base de lancement de Jiuquan, connue également sous de nom de base 20 ou "20e base de test et d'entrainement de l'armée populaire de libération", est le premier et le plus important des sites chinois utilisé pour les lancements dans l'espace. Le président chinois Xi Jinping a présenté jeudi ses félicitations pour le lancement réussi du module de base de la station spatiale chinoise. La Chine dispose à la fois de satellites géostationnaires et de satellites à défilement pour recueillir les données météorologiques. Mais la priorité va au programme d'exploration lunaire, destination moins complexe à atteindre, qui doit permettre à la Chine de maitriser les technologies qui seront mises en œuvre par les missions martiennes. En juillet 2018, une enveloppe de 4 milliards de yuans (515 millions d'€) est débloqué pour la phase deux du programme scientifique. Le premier projet de sonde spatiale lunaire chinoise est proposé dès 1962 par l'Université de Nankin. La Chine a lancé en 2008 et 2011 deux satellites relais Tianlian en orbite géostationnaire. Actuellement, le pays dispose de quatre sites de lancement. À l'époque, les dirigeants chinois entretiennent des liens étroits avec l'Union soviétique considérée comme un pays frère régi par les mêmes principes socialistes. Les satellites chinois à vocation scientifique ont été relativement peu nombreux depuis les débuts.