Cette surface comprend les parkings et le bâtiment. La surface doit passer à 135 000 m2, le nombre de boutiques à 300 et les places de parking à 4 800[5]. Ils parvinrent à survivre et purent effectuer les réparations nécessaires au Chili. On peut citer Hal et Margaret Roth qui ont largement contribué par leurs écrits à populariser la navigation à voile au grand large, notamment dans Two Against Cape Horn[49],[50], où ils décrivent leur voyage autour du cap Horn. La première tentative de franchissement du cap Horn par un petit voilier fut celle, en 1911, du Pandora, une réplique du Spray de Joshua Slocum. Si l'on considère maintenant l’ensemble de la plaque continentale de l’Amérique du Sud, ce sont les îles Diego Ramirez qui sont les plus australes, à 105 kilomètres à l'ouest-sud-ouest du cap Horn. Enfin, des navires transportant des marchandises ou des passagers empruntaient la route du cap Horn pour passer d’une côte des États-Unis à l’autre[30],[31]. Le cap Horn marque la limite nord du passage de Drake (le nom du détroit séparant l’Amérique du Sud de l’Antarctique), et le méridien qui le traverse définit, du cap jusqu'à l'Antarctique, la frontière entre l’océan Pacifique et l’océan Atlantique[4]. Cependant, tous ces passages sont réputés pour leurs coups de vent traîtres (les williwaws en provenance des flancs des montagnes), qui peuvent frapper un navire sans prévenir[19], risquant de l’entraîner vers les récifs qui ne sont jamais loin vu l’étroitesse de ces passages. La vitesse moyenne des vents a été enregistrée à 30 km/h, avec des rafales dépassant les 100 km/h et ceci en toute saison[12]. En 2013, le chiffre d'affaires était de 412 millions d'euros[11]. C'est vers la fin des années 1960 que Jean Demogé, président-directeur général des Nouvelles Galeries, a l'idée de construire un grand centre commercial près de l'aéroport de Nice-Côte d'Azur[3]. Il se compose au départ de cinquante magasins entourant les Nouvelles Galeries sur deux niveaux[3]. Ils sont situés sur les côtés nord et ouest du centre, sur trois niveaux en superstructure. Nous passons devant les immenses rochers qui forment le cap Deceit, et, vers trois heures, nous doublons le cap Horn, battu par les tempêtes. nécessaire]. Les vagues peuvent également être encore plus creusées les jours où le vent souffle de l’est, venant ainsi à contresens du puissant courant marin qui traverse lui le passage de Drake d’ouest en est[23]. Tout l’avant était entièrement sous eau ; la mer, faisant irruption par les sabords et les écubiers, passant par-dessus les bossoirs, menaçait de tout emporter par-dessus bord. Elles étaient empruntées par les voiliers pour transporter les marchandises tout autour du globe, et ce bien que les eaux océaniques autour du cap présentent de nombreux dangers : tempêtes fortes et fréquentes avec une mer très grosse, courant circumpolaire antarctique et présence possible d’icebergs voire de vagues scélérates. Aucune autre tentative à ce jour ne fut tentée dans cette discipline. Sud Yachting, est une entreprise familiale, forte d'une expérience de 35. Le flux de ce courant au niveau du passage de Drake est de 135 sverdrups soit 135 millions de mètres cubes par seconde (135 fois le flux combiné de toutes les rivières du monde)[20]. Enfin, les glaces sont le dernier danger qui menace les marins s’aventurant loin au-delà du 40° sud. Il est le thème de chants de marins[45] et a suscité de nombreux livres sur le monde de la voile. Les vents soufflent généralement fort, particulièrement en hiver. Les navires (principalement les clippers dont la vitesse assurait la compétitivité) chargés de coton, de céréales et d’or en provenance d’Australie passaient au large du cap Horn pour retourner en Europe et ainsi terminer leur périple autour du monde[29]. Le premier petit bateau à voile à franchir le cap Horn fut le yacht Saoirse de 13 m de long, manœuvré par Conor O’Brien accompagné de trois amis, qui passèrent le cap « par un temps tout à fait merveilleux »[37] au cours d’un tour du monde de 1923 à 1925[2]. En revanche, les voiliers multicoques (tri et catamarans) ont énormément de difficultés à remonter au vent. Les marins en parlent souvent comme étant « le Horn »[7]. Plusieurs facteurs se conjuguent pour faire du cap Horn l’un des passages les plus dangereux au monde pour la navigation maritime : il est situé près de l'océan Austral, où prévalent de manière générale des conditions difficiles pour la navigation, il présente une topographie défavorable, et sa latitude est extrême, par 56° sud (à titre de comparaison, le cap des Aiguilles à la pointe sud de l’Afrique est par 35° sud, et l’île Stewart au sud de la Nouvelle-Zélande est par 47° sud). Le détroit de Magellan, entre la partie continentale et la Terre de Feu, est un des principaux passages, et a été emprunté par les transports marchands bien avant que le Horn ne fût découvert.
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