Zijn verjaardag is onbekend. », « Ainsi s'effondrait après une chute sans égale, un des plus grands empires qu'ait connus l'histoire moderne », « Si ce document fut signé par le gouvernement ottoman d', « celle d’entre elles qui serait disposée à lui prêter assistance », « le pays est las de la guerre. Cependant, leur mariage n'était pas heureux ; après de fréquentes disputes, ils divorcèrent le 5 août 1925[50]. İsmet İnönü et Fevzi Çakmak parviennent à prendre la fuite et à rejoindre Mustafa Kemal. Mustafa Kemal est le fils d’un militaire devenu fonctionnaire puis marchand, né un jour de 1881 dans la Sa maison natale est actuellement le siège du consulat turc et abrite également un musée. Voyant dans ces émeutes anti-juifs l'influence directe des agents secrets allemands, il fait savoir que l'antisémitisme ne sera jamais toléré en Turquie. Tout dans ce monde évolue rapidement. À la nuit tombante, la crête est toujours entre les mains des Ottomans. Quant à Cavit, il est condamné à mort. En peu de temps, il avait créé la cellule salonicienne de Patrie et liberté. ». Son père se nomme Ali Rıza Efendi et sa mère Zübeyde Hanım. La même année est votée la loi sur les noms de famille et le nom d’Atatürk (« Père des Turcs ») est donné à Mustafa Kemal par la GANT. İsmet İnönü lance sa 61e division et un groupe de cavalerie sur Kütahya, puis il contre-attaque victorieusement à la hauteur d'İnönü. Le second écarte la pensée religieuse pour rénover la pensée politique. Le général von Sanders confie à Mustafa Kemal le commandement du seul corps d'armée présent sur la presqu'île. Dans ce contexte, Lord Balfour l'a appelé le « plus terrible de tous les terribles Turcs » (most terrible of all the terrible Turks)[58]. Les nouveaux députés se réunissent à, Début de l'occupation et organisation de la résistance, Mustafa Kemal, président de la république, D'importantes réformes vers la sécularisation, « Je ne vous ordonne pas de combattre, mais de mourir. Il finit par retourner à Jaffa. Le 29 janvier 1923, ils se sont mariés. Après la bataille de la Sakarya d'août à septembre 1921, la Grande Assemblée nationale de Turquie lui donne le titre de « Gazi » (« Le Victorieux »). Une de ses premières mesures radicales fut de décréter la suppression des caractères arabes au profit de l'alphabet latin. La loi no 5816, adoptée le 25 juillet 1951, dispose que « Quiconque insulte publiquement ou maudit la mémoire d'Atatürk est incarcéré avec une lourde sentence entre un et trois ans ». Comme les Alliés n'ont plus les moyens d'envoyer des hommes combattre Mustafa Kemal, l'homme d'État grec Elefthérios Venizélos leur propose de confier la prise de l'Empire ottoman à la Grèce. Mais des coups de pistolets y sont tirés, la panique fait un mort, la police intervient, disperse l'auditoire et arrête tous les dirigeants du nouveau parti. Il embarque avec le colonel Arif et Refet sur le Bandırma en direction de Samsun, mais un rapport de police remis à Mehmed VI le dénonce comme sympathisant de la cause rebelle. Kemal Atatürk[3] (jusqu'en 1934 : Mustafa Kemal Pacha, en turc ottoman مصطفى كمال پاشا Muṣṭafâ Kemâl Paşa ; à partir de 1935 Kamâl Atatürk[4]), communément appelé Mustafa Kemal Atatürk ou parfois simplement Mustafa Kemal, né en 1881 à une date inconnue à Salonique (alors situé au sein de l'Empire ottoman) et mort le 10 novembre 1938 à Istanbul, est un homme d'État turc. L'organisation grandit rapidement et possède bientôt des ramifications dans toutes les unités syriennes ; en mars 1906, il a déjà créé des cellules à Jérusalem, Jaffa, et Beyrouth mais se rend compte qu'il ne pourra compter sur les Arabes qui peuplent la région pour soutenir son action : ceux-ci sont absolument indifférents au sort de l'empire, dont la tutelle les gêne plus qu'elle ne les comble. Au début des années 1930, Mustafa Kemal, réélu à la présidence de la République, est à l’apogée de sa puissance. Les prévenus les moins importants sont jugés et pendus le jour même. Une nuit, ils s'étaient tous réunis chez l'un d'entre eux et Mustafa Kemal avait rappelé les trois objectifs de l'association avant de poser un revolver sur la table : il préférait que la prestation de serment soit faite sur cette arme plutôt que sur le Coran, comme le voulaient les traditions ottomanes. », « Je ne veux pas mourir avant d'avoir vu, en Turquie, la disparition d'un pouvoir personnel. Il épouse alors un idéal, il voit en sa femme Latife le modèle de la femme turque (occidentalisée, elle a étudié le droit à Paris[8]). Het onderwijs kwam onder controle van de Turkse regering. ». Puis, cette même armée débarque à Edirne et désarme les forces turques. Il se consacre à cette tâche durant tout l'hiver 1921 jusqu'au printemps 1922, en travaillant plus de dix-huit heures par jour dans son bureau. Un accord est toutefois trouvé pour les communautés turques de Thrace occidentale (Grèce) qui sont autorisées à rester sur leurs terres ancestrales en échange du même droit accordé à la communauté grecque orthodoxe d'Istanbul avec la préservation de leur patriarcat. L'armée turque reste cependant inférieure en nombre et en équipement à l'armée grecque. A Menemen, en 1930, localité du sud-ouest de la Turquie, un officier kémaliste est assassiné par une foule conduite par un membre de la confrérie soufie Nakchibendi. C'est son ami Fethi Okyar qui devient président du parti. Fethi décide de dissoudre son parti le 17 novembre 1930 à la suite des allégations de fraude électorale que le régime a portées contre son parti pour expliquer le succès de celui-ci aux élections municipales d'octobre[32],[33]. Mustafa Kemal contre-attaque durant la nuit et la journée qui suivent, sans parvenir à repousser les Australiens. Les Bulgares lancent huit offensives qui sont toutes repoussées. Lors d'un discours tenu le 1er novembre 1936, Mustafa Kemal reconnaît que le problème kurde est un des plus graves problèmes intérieurs de la Turquie[42]. Par cette convention, les alliés s'engagent à obliger la Grèce à se retirer de la Thrace et promettent d'évacuer le plus rapidement possible l'Empire ottoman. Mustafa Kemal n'interdit pas le port du hijab, craignant une guerre civile[38], mais son port est interdit aux fonctionnaires, et il est fortement déconseillé dans la vie publique. Le gouvernement impérial sera contre nous. En représailles, les notables de la ville sont pendus publiquement par les forces kemalistes. Dorénavant, les députés seront choisis exclusivement parmi les membres du Parti républicain du peuple, qui devient de fait parti unique. Er werd ook beweerd dat hij in 1880 werd geboren. Pour ce faire, il vide tous les arsenaux, rassemble tous les stocks, fait remettre en état tout le matériel qui peut encore servir et achète des armes à la Bulgarie, aux États-Unis et à l'Italie, qu'il paie avec de l'argent emprunté à Moscou et l'aide financière envoyée par les musulmans de l'Inde, alors colonie britannique. Ne recevant aucune réponse, il décide d'isoler Istanbul du reste de l'Anatolie. La polygamie est interdite et les hommes et les femmes deviennent égaux en droits[8]. Tirant les conséquences des échecs militaires grecs, les alliés se déclarent officiellement neutres dans le conflit et retirent de facto leur soutien à l'offensive grecque. Reza Pahlavi tente de mener une révolution comparable à la révolution kémaliste dans son pays. Sur le plan international, la Turquie se rapproche de l'Iran du chah Reza Pahlavi et de l'Afghanistan qui voyaient avec admiration les réformes menées par Atatürk. Les Turcs prennent fait et cause pour les nationalistes. Son père étant le ministre d'un pays potentiellement ennemi, il préfère stopper la relation. La volonté est donc de les assimiler au groupe majoritaire. Mais en octobre 1912, le Monténégro déclare la guerre à l'Empire ottoman, et est immédiatement suivi de la Serbie, de la Bulgarie et de la Grèce. Après l'abolition du califat, il fait venir en Turquie un collège de juristes occidentaux. Après une grave crise économique qui touche la Turquie en 1925 et 1926, un complot voit le jour pour assassiner Mustafa Kemal. Afin de couvrir sa fugue, un commandant l'envoie immédiatement sur le front d'Akaba ; après la victoire là-bas, il retrouve son poste à Damas. Sa mère s’installe alors à une trentaine de kilomètres de Thessalonique dans une ferme où travaille son frère. Le 6 septembre 1938, il rédige son testament où il affirme : « Je ne laisse, en tant qu'héritage spirituel, aucun verset, aucun dogme, aucune règle pétrifiée et figée. L'armée verte qui avait combattu l'armée du calife s'était mise à terroriser les paysans anatoliens. Le gouvernement français est le premier à en tirer les conséquences politiques. L'état des troupes ottomanes est déplorable, beaucoup de régiments ne se composant plus que de dix pour cent de leurs effectifs habituels. Cependant le régime kémaliste ne se transforme jamais vraiment en régime fasciste, et encore moins en régime communiste[34]. Sentence aggravée si la diffamation a lieu par voie de presse. Quatre généraux participent à la conférence : un Britannique, un Français, un Italien et le Turc İsmet İnönü. Mustafa Kemal provoque des élections générales dans tout le pays et demande au Congrès d'envoyer un ultimatum au Sultan, lui intimant l'ordre de renvoyer le Grand Vizir, Damad Férid Pacha, coupable d'avoir provoqué la rébellion kurde. À Konya, les insurgés arrachent les ongles et écartèlent les envoyés de Kemal. L'Empire ottoman vaincu dépose les armes le 30 octobre 1918. Ce ne sont donc pas des populations arabes, c'est pourquoi la Turquie affirme que ce sont « des populations authentiquement turques ». Plusieurs officiers de sa promotion, dont son ami Ali Fuat Cebesoy, avaient pris l'habitude de se réunir pour discuter, avec un esprit critique, des affaires du pays et lire des ouvrages interdits. », « la base de l'État turc et la souveraineté du peuple », « le meilleur moyen de perdre son indépendance, c'est de dépenser l'argent qu'on ne possède pas. Il garde un très mauvais souvenir des cours coraniques dans lesquels le maître religieux leur faisait apprendre par cœur des versets en arabe, langue dont aucun des élèves ne comprenait un mot. Il fait ériger ce comité en gouvernement provisoire qui obtient le droit d'agir en toute indépendance du pouvoir impérial. Les minorités allogènes (Arméniens, Grecs et Kurdes) doivent quitter le pays ou s'assimiler. À l'époque, nous nous occupions de notre propre mouvement d'indépendance. Pour Alexandre Adler, Atatürk n'avait qu'un seul but : « L'élévation du pays vers la démocratie et la prospérité européennes, où la culture française et la précision allemande allaient jouer le même rôle que naguère la profondeur métaphysique et la splendeur imagière de l'Iran[52]. Kemal Atatürk (jusqu'en 1934 : Mustafa Kemal Pacha, en turc ottoman مصطفى كمال پاشا Muṣṭafâ Kemâl Paşa ; à partir de 1935 Kamâl Atatürk), communément appelé Mustafa Kemal Atatürk ou parfois simplement Mustafa Kemal, né en 1881 à une date inconnue à Salonique (alors situé au sein de l'Empire ottoman) et mort le 10 novembre 1938 à Istanbul, est un homme d'État turc. Le 30 septembre, toutes les troupes ottomanes de Syrie se replient sur Alep. Grâce à un colonel de l'état-major, il obtient un congé maladie de quatre mois : il lui devenait ainsi possible de se montrer partout à Salonique sans crainte de se faire repérer. Le chah d'Iran, Reza Pahlavi, et le chef d'État afghan, Mohammed Zaher Chah, se sont directement inspirés du kémalisme pour mener des réformes dans leurs pays. Il est de plus en plus contesté, même au sein de son propre parti, le Parti républicain du peuple. Le régime décide donc de se projeter dans un autre cadre, passant du cadre réformiste à un cadre révolutionnaire. En réponse aux nationalistes, le ministre de la guerre Soliman Chevket Pacha se voit confier par le sultan, avec le soutien des Britanniques, le commandement de l'Armée du Calife. Au Maroc, la révolution indépendantiste d'Abdelkrim (première guerre de décolonisation du XXe siècle) s'était déroulée dans la même période que la révolution kémaliste. Les zones partiellement grecques de la côte (Smyrne) sont rattachées à la Grèce, le Kurdistan devient autonome. Mustafa Kemal Atatürk est né entre décembre 1880 et mai 1881, avenue Islâhhâne dans le quartier de Kocakasım, à Salonique (actuelle Thessalonique, en Grèce), alors ville ottomane. L'inévitable guerre civile éclate dans toute sa brutalité. Le parlement renouvelle le mandat présidentiel de Mustafa Kemal en 1927, 1931 et 1935 qui refuse de devenir président à vie. Le sultan promet aux puissances signataires du traité de Sèvres d’accepter le protectorat de « celle d’entre elles qui serait disposée à lui prêter assistance ». Il se rapproche également de la Yougoslavie et de la Roumanie. C’est dans cette école que son professeur de mathématiques Mustafa Bey décide d'ajouter « Kemal » (« parfait, complet » en arabe) à son nom pour ses talents en mathématiques, parce que « deux Mustafa dans la même classe, c'est trop »[9]. Après s'être débarrassé de toute opposition, Mustafa Kemal modifie le mode de fonctionnement de l'Assemblée Nationale. Il s’agissait alors d'une charge cumulant les fonctions de chef d’État et de gouvernement. Convaincu que l'attaque des Alliés se passera à Gallipoli, il y installe son quartier général. Pour financer ses projets, il décide de créer plusieurs banques, comme la Sümer Bank et la Eti Bank patronnées par la Merkez Bankası (la banque centrale-1930). Auparavant, la manifestation du deuil était plus marquée, les journaux avaient des titres noirs, les cinémas, les restaurants restaient fermés ce jour-là. Une grande révolte kurde menée par le Cheikh Saïd éclate alors. Des dizaines de centrales électriques sont ainsi construites pour l'industrie naissante. Le fait d'avoir été muté de Damas à Salonique permet officiellement à Mustafa Kemal de se retrouver sur le terrain idéal pour ses activités révolutionnaires[18]. Ces événements restent gravés dans la mémoire collective grecque sous le nom de « catastrophe d’Asie mineure » (Mikrasiatiki Katastrofi)[26]. Grâce à ces sources de financement, des milliers de kilomètres de routes sont construits ainsi que plusieurs centaines de ponts, un réseau de chemins de fer est créé, ce qui permet de désenclaver l'Anatolie pour accéder à un développement économique homogène. Les Australiens, qui avaient pris entretemps un avantage stratégique en prenant la crête de la colline, se préparent à lancer une nouvelle offensive. Kemal annonce à ses officiers cette crise ouverte entre le sultan et lui : « Nous sommes arrivés à la croisée des chemins. Kemal signe son arrêt de mort sans sourciller. Mais Mustafa Kemal ne suit pas immédiatement le mouvement. Discutez des points à améliorer en page de discussion ou modifiez l'article. Kemal Atatürk (or alternatively written as Kamâl Atatürk, Mustafa Kemal Pasha until 1934, commonly referred to as Mustafa Kemal Atatürk; c. 1881 – 10 November 1938) was a Turkish field marshal, revolutionary statesman, author, and the founding father of the Republic of Turkey, serving as its first president from 1923 until his death in 1938. Il passe sa convalescence à Istanbul, où il reçoit les officiers opposés à la présence allemande dans le pays. Enfin, l'unité nationale se veut structurée autour d'une unité ethno-culturelle forte. Les Serbes ont progressé sans rencontrer de résistance sérieuse et se sont emparés de, L'attaque des Alliés contre Gallipoli se précise. (…) Il est l'un des grands constructeurs de l'époque moderne en Orient. Il limoge son Grand Vizir, rouvre le parlement et convoque de nouvelles élections. « Si ce document fut signé par le gouvernement ottoman d'Istanbul, la plupart des Turcs, dans la presque totalité du pays, ne reconnaissent que l'autorité du gouvernement d'Ankara dirigé par Mustafa Kemal qui, lui, refuse catégoriquement ce traité et ses clauses. Les troupes en fuite se reconstituent. Il reçoit le soutien de ses compagnons, à la condition qu'il ne porte pas atteinte à l'autorité ou au prestige du sultan. Beaucoup de lieux portent son nom comme l'aéroport international d'Istanbul ou le stade olympique Atatürk dans cette même ville. Un député lui demande s'il ne serait pas préférable qu'il abandonne ses fonctions civiles pour se consacrer entièrement à ses fonctions militaires. Pour Norbert de Bischoff, « Ainsi s'effondrait après une chute sans égale, un des plus grands empires qu'ait connus l'histoire moderne ». Il semble que tout sépare Abdelhamîd Ibn Bâdîs, le chef du mouvement réformiste en Algérie et Mustafa Kémal Atatürk, le fondateur de la Turquie moderne. L'historiographie officielle le fait cependant naître le 19 mai, en référence à la date du déclenchement de la guerre d'indépendance turque, le 19 mai 1919[5]. De (voormalige) belangrijkste luchthaven in Turkije werd in 1985 naar hem vernoemd: Deze pagina is voor het laatst bewerkt op 26 apr 2021 om 15:44. Il est rapidement démis de ses fonctions pour causes médicales (paludisme). Il interdit également les musiques et les danses orientales. Mustafa Kemal ATATÜRK ([Atatjurk] signifanta pli malpli "patro / gvidanto de turkoj") (naskiĝis en 1881, mortis la 10-an de novembro 1938) fondis la Respublikon de Turkio … Cette autre association révolutionnaire est mieux structurée, possédant de nombreuses ramifications à travers tout l'empire ainsi qu'à l'étranger. Durant ses permissions, il lui arrive de se rendre dans les quartiers européens réputés pour leurs salles de spectacles, leurs bars et leurs maisons closes. Mustafa Kemal et Ali Fuad avaient espéré un poste proche d'Istanbul, en Thrace ou en Macédoine, mais ils furent dépêchés à Damas au sein de la 5e armée, dans le but d'effectuer un stage dans le 30e régiment de cavalerie où il fut chargé de parfaire la formation et l'entraînement d'officiers en les initiant aux théories stratégiques modernes afin de combattre les rebelles druzes. Edhem s'enfuit et rejoint les Grecs avec lesquels il établit une collaboration. La liberté d'expression va permettre aux journalistes de critiquer fortement Kemal et sa politique à travers des articles ou des caricatures.
L'hiver Vivaldi Analyse, Prix Livraison Carter-cash, St Hélier Rennes, Opa Blue Solutions, Zhao Lab Mit, Pianiste Le Samouraï,