Le pavillon double a été utilisé comme chambre privée des princes de la couronne à partir du XVIIIe siècle. De chaque côté de ce passage à colonnes contrôlé par le chef des eunuques du harem, appelé Bâbüssaâde Ağası, et le personnel placé sous sa responsabilité, s'étendaient les quartiers des eunuques, ainsi que les salles, grandes et petites, de l'école du palais. Les peintures panoramiques des salles supérieures sont de style européen occidental des XVIIIe et XIXe siècles[Davis 12]. La miniature Hünername de 1584 montre la troisième cour et les jardins extérieurs comme ils ont dû apparaître juste après leur achèvement sous Mehmed II. Étant donné qu'il existait un autre trésor « intérieur » dans la troisième cour, celui-ci est également appelé « trésor extérieur » (dış hazine)[Necipoğlu 29]. Il est aussi appelé Kubbealtı, qui signifie « sous la coupole », en référence à la coupole qui couvre la salle principale du conseil. La fenêtre pouvait être atteinte à partir des appartements impériaux par la tour de Justice (Adalet Kulesi). Sur la droite de l'entrée se trouve une cheminée avec une grille dorée. Une fois sur la cour à droite: les cuisines du palais Topkapi sont les plus grandes de tout l’Empire Ottoman. La citerne située sous la seconde cour remonte à l'époque byzantine. Un nombre moins élevé d'armes provenant d'Europe et d'Asie constitue le reste de la collection. La « chambre privée de Murad III » (III. Elles abritent le manteau du prophète Mahomet, son épée, une dent, un poil de sa barbe, ses sabres de bataille, une lettre autographe et d'autres reliques connues sous le nom de Reliques Sacrées. Avlu), parfois nommée « palais intérieur » (Enderûn Avlusu). Vous pouvez visiter, l’armurerie, le divan, (la joaillerie, le trésor impérial – fermé pour les travaux), l’horlogerie, la salle d’audiences, les habits des sultans (fermé pour les travaux), les tableaux des sultans, les reliques, les cours, les pavillons (kiosque de Circoncisions, kiosque d’Erevan, kiosque de Bagdad, kiosque de la Terrasse), les jardins, une petite mosquée (mosquée de la terrasse). Des ambassadeurs autrichiens, vénitiens, français ont laissé le récit de leurs visites. Il faisait partie des appartements du sultan. Si c'est un jour de Conseil, il donne audience à l'agha des janissaires, aux juges de l'armée, et finalement aux vizirs ; et si quelqu'un a été promu gouverneur de province ou autre, il obtient le droit de venir embrasser sa main sans émettre une seule parole ni recevoir de réponse. Elles étaient autrefois des bureaux du sultan. Elle est décorée de faïences d'İznik bleu, blanc et rouge corail[Davis 16]. Le médecin avait sa chambre au sommet, le rez-de-chaussée étant occupé par la pharmacie du palais. Elles ont su jouer des faibles moyens qu'elles avaient à leur disposition. La première pharmacie de la cour a été établie durant le règne de Mehmet II. Le sultan Ibrahim a aussi construit les arcades et le toit surplombant la chambre du manteau sacré, ainsi que la terrasse supérieure entre sa chambre et le kiosque de Bagdad. Les repas pour le sultan, les habitants du harem, les membres des services intérieurs et extérieurs au palais (Enderûn et Birûn) y étaient préparés : on y faisait donc la cuisine pour environ 4 000 personnes. La plus importante cérémonie avait lieu tous les trois mois au cours de la distribution des traitements (ulûfe) des janissaires[Davis 5]. Les plus notables sont (tr)Hünername, Sahansahname, les Albums Sarayı, Siyer-ı Nebi, Surname-ı Hümayun, Surname-i Vehbi, et la Süleymanname[19]. Les appartements du chef des eunuques noirs du harem (Darüssaade Ağasi Dairesi) adjacents au dortoir contiennent un bain, des pièces de vie et une chambre. Les murs sont aujourd'hui soit recouverts de marbre, soit délavés de blanc. Le palais de Topkapı (ou Topkapi ; en turc : Topkapı Sarayı [top.kɑ. La fontaine était utilisée non seulement pour les ablutions, mais son bruit pouvait être utile pour couvrir les conversations confidentielles ou secrètes dans la pièce[15],[Davis 7]. Après son règne, les sultans ont quitté Topkapı, la tour fut utilisée comme conservatoire de musique, puis pour l'entretien des armes du palais. De nos jours, le complexe abrite des collections de divers artefacts précieux, notamment le manteau et l'épée ayant appartenu au prophète Mahomet. Il consiste en une série d’immeubles et de structures reliés par des couloirs et de petites cours. On estime que le harem hébergeait 400 personnes: 300 femmes et 100 eunuques pour les surveiller. On y voit aussi la petite mosquée du XVIIIe siècle et les bains de Beşir Ağa (Beşir Ağa Camii ve Hamamı), le chef des eunuques noirs de Mahmud Ier[Necipoğlu 22]. Il s’est agrandi au fil du temps le long de la Corne d’or. La première mention de ce corps date de 1527, lorsqu'il fut établi afin de dégager les routes devant l'armée en campagne. Construit au XVe siècle, ce palais était la résidence des sultans. Le portique à colonnes du côté du jardin est ouvert sur chacune des quatre pièces par une porte de hauteur imposante. La salle principale du Kubbealtı est décorée de tuiles ottomanes Kütahya[Necipoğlu 25]. Elle montre aussi en bas le sultan dans ce qui ressemble à un pavillon de plage, soit donnant audience, soit étant entretenu par des courtisans[Necipoğlu 33]. La plupart de ses éléments ont été conçus par Mimar Sinan. Elle était aussi pour ce dernier un point d’observation d’où il pouvait voir toute la ville et ses détroits. On comptait le pavillon de plage, le pavillon de perle, le pavillon de marbre et le kiosque des vanniers, qui est la dernière structure encore en place. Deux tuğras sont identifiés : celui de Mehmed II, et celui du sultan Abdulaziz, qui a rénové la porte[Necipoğlu 10]. Des inscriptions gravées sur la porte principale, sous la forme d'un monogramme du sultan et d'éloges du sultan Abdülmecit Ier, datent de 1856. Les deux hammams présentent la même structure, constituée d'un caldarium, d'un tepidarium et d'un frigidarium[Davis 13]. Le sultan se tenait assis devant la porte sur son trône les jours de fêtes religieuses (bayramlar), tandis que sujets et fonctionnaires restaient debout[Necipoğlu 31]. À partir du milieu du XVIIIe siècle, ce kiosque a été utilisé comme bibliothèque de la chambre privée. Elle était donc conçue pour impressionner les visiteurs. Les carrelages vert d'eau, blanc cassé et bleu médian datent du règne de Mehmed IV (XVIIe siècle). Les larges fenêtres à colonnes engagées et le fronton Renaissance évoquent l'architecture palladienne[Necipoğlu 26]. Les entrées dans la salle depuis l'extérieur sont dans le style rococo, avec des grilles dorées qui laissent passer la lumière. Ces panneaux ont servi de modèles pour la décoration des kiosques d'Erevan et de Bagdad. En 1853, le sultan Abdülmecid Ier décide de déplacer sa cour vers le palais de Dolmabahçe, premier palais de style européen de la ville, dont la construction vient de se terminer. La porte principale du harem et la porte de Kuşhane sur la cour d'Enderûn, sont reliées à cette cour. Le médecin principal (Hekim Başı) et le précepteur en chef partageaient cet endroit. C'est elle qui est le sujet du film Topkapi. Dans d'autres vitrines, on voit des verres décorés de gemmes rares, des pierres précieuses, des émeraudes et des diamants. La ville devient alors le centre de l’empire Ottoman. L'immeuble, relié au palais, est constitué d'un rez-de-chaussée construit sur une plate-forme élevée qui procure une bonne vue sur l'extérieur, tout en étant protégée des regards. L'intérieur comporte deux grandes pièces, datant soit du règne de Murad III, soit, plus probablement, du règne d'Ahmet Ier[Davis 19]. La baignoire de marbre avec sa fontaine ornementale et sa grille métallique dorée qui se trouve dans le caldarium est un élément caractéristique. Le trône du sultan Mahmud Ier est le point d'orgue de la quatrième pièce. La « cour des favorites » (Gözdeler / Mabeyn Taşlığı ve Dairesi) est la dernière partie du harem. En 2018, il s'agit du musée le plus visité de Turquie avec 2 980 450 de visiteurs[2]. Les meilleurs pouvaient devenir Has Odali Ağa (gardiens des reliques saintes et serviteurs personnels du sultan), ou bien devenir officiers ou fonctionnaires de haut rang. À proximité se trouve la chambre d'amour de Selim III, construite en 1790. Même le grand vizir n'était autorisé à la franchir que selon des horaires et à des conditions bien spécifiées. La colonnade de ce kiosque antérieur est probablement celle qui trône devant le trésor actuel[pas clair]. Elles furent relevées et mises au goût du jour par l'architecte de la cour Mimar Sinan[Necipoğlu 20]. Avlu), parfois nommée « palais intérieur » (Enderûn Avlusu). Enderun transmettait une éducation scolaire poussée pour que ces enfants deviennent employés au service de l’Empire Ottoman, fonctionnaire, soldats ou dirigeants . Honneur au sultan lui seul pouvait y passer à cheval. La porte à gauche du poste de garde mène par le passage des concubines à la cour des concubines (Kadınefendiler Taşlığı). La deuxième chambre était occupée par le personnel de secrétariat du Divan impérial. Le musée du palais de Topkapı est, depuis, placé sous l'administration du ministère de la Culture et du Tourisme. L'aspect massif de cette porte accentue son caractère défensif. Les murs sont couverts de céramiques de Kütahya du XVIIe siècle. Si Mehmed II ne dormait pas dans le harem, ses successeurs se sont reclus dans la quatrième cour et dans le harem. La porte de l'Auguste donne accès à la première cour. La fontaine était aussi un symbole du sultan, l'inscription perse la nommant « La fontaine de la générosité, de la justice et la mer de la bienfaisance »[Necipoğlu 39]. La porte est coiffée d'une coupole soutenue par de minces piliers de marbre. Un objet inestimable de cette collection est la première carte du monde par l'amiral turc Piri Reis (1513). Selon le témoignage de l'historien contemporain Kritovolous d'Imbros[Necipoğlu 3], le sultan : « [...] prit soin de convoquer les meilleurs ouvriers de toutes parts - maçons, tailleurs de pierre, charpentiers [...]. Le harem n'a été construit qu'à la fin du XVIe siècle. En passant par la porte du salut (porte donnant sur la seconde cour) par laquelle seul les officiels, les diplomates étrangers pouvaient y rentrer. Les bâtiments ne dépassent pas deux étages. Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. Il ordonne en 1459 la construction d'un « Nouveau Palais » ((tr) Yeni Sarayı). Actuellement, l'exposition compte quelque quatre cents armes, dont la plupart portent des inscriptions. La « fontaine du Bourreau » (Cellat Çeşmesi) se trouve du côté droit de la porte du Milieu : c'est là que le bourreau, dit-on, se lavait les mains ainsi que son glaive après une décapitation[Davis 1]. INCROYABLE: Seul endroit au monde (même à la Mecque cela n’existe pas) ou on y lit le coran 24 / 24 sans interruption depuis 5 siècle, 12 imams choisis méticuleusement se relaient pour cet honneur. Certaines d'entre elles furent construites dès le XVe siècle, en même temps que le palais lui-même, sur le modèle de celles du palais du sultan à Edirne.Elles furent agrandies sous le règne du sultan Soliman le Magnifique, mais brûlèrent en 1574. La fontaine qui donne son nom à cette pièce a été déplacée dans la piscine de la chambre de Murad III. Sa date de construction est incertaine, car l'architecture des tours est d'influence byzantine plutôt qu'ottomane. De la[Laquelle ?] Un passage mène, à travers les bains de la sultane validé, aux quartiers du sultan. Ces céladons étaient particulièrement appréciés du sultan et de la sultane validé (reine mère), car ils étaient réputés changer de couleur si la nourriture et les boissons qu'ils contenaient étaient empoisonnées[12]. Ouvert l’hiver de 9h00 à 16h30 l’été de 9h00 à 19h00, fermé le mardi. Il est constitué d'une grande salle de pierre et de brique couverte de huit coupoles [Necipoğlu 26], chacune de 5 × 11,40 m. Ce « trésor » était utilisé pour les finances de l'administration de l'État. Le treillage doré était destiné à protéger le baigneur des tentatives d'assassinat. Quand on sait que le palais de Topkapi fut la résidence urbaine, principale et officielle, des sultans et souverains ottomans entre le XVe et le XIXe siècle, on se doute aussitôt du luxe qu’il doit renfermer. Au nord-est de la mosquée se trouve la collection des portraits impériaux. Son origine remonte probablement à Mehmet II. Le Palais de Topkapi, Topkapi Sarayi (« le palais de la porte des Canons ») en turc, a été construit sur le lieu de lancienne Acropole de Byzance entre 1459 et 1465 par le Elle constitue le cœur du palais, l'endroit où vivait le sultan en dehors du harem[14]. Visites ou pas, la prière continue, jamais interrompue ; des fidèles musulmans des quatre coins du monde viennent s’y recueillir. Il était la résidence urbaine des sultans ottomans de 1465 à 1853. ... on peut visiter les pièces principales du Palais où sont exposés les trésors des Sultans ainsi que des reliques du Prophète Mahomet. (Mühr-ü Hümayûn). Seules deux pièces sont ouvertes au public : la salle à manger avec[Davis 10], dans la galerie supérieure, la salle de réception, et la chambre avec, derrière un treillis, une petite pièce pour la prière[Davis 11]. Comment visiter Bursa au départ d’Istanbul ? En 1640, le sultan Ibrahim Ier fait construire la « salle des circoncisions » (Sünnet Odası), un kiosque d'été (Yazlik Oda) destiné à la circoncision des jeunes princes, qui est un rite de passage essentiel de l'Islam. Son dôme est légèrement plus petit que celui de la salle impériale. Les séances avaient lieu le samedi, le dimanche, le lundi et le mardi, après la prière matinale[Davis 3]. Les livres étaient conservés dans les niches des murs. On ne connaît pas exactement la date de sa construction, mais son plan et la technique employée indiquent qu'il remonte probablement à la fin du XVe siècle et au règne de Soliman. À son arrivée, on procédait à une cérémonie de bienvenue : avant d'ouvrir les débats du Divan impérial, il s'approchait de la porte de la Félicité et la saluait, exprimant ainsi ses respects à la porte de la demeure du sultan. La survit de ce monument dans le Palais montre le respect des Sultans à l’art. Mais celle-ci comporte aussi de nombreuses armes omeyyades et abbassides, ainsi que des armes, armures, casques, épées et haches d'origine perse et mamelouk. Une citerne byzantine, sous la seconde cour, a été utilisée tout au long de l'époque ottomane. Sous le baldaquin se trouve un pendant doré avec une grosse émeraude. Contrairement à d'autres résidences royales qui ont des plans très stricts (comme le château de Schönbrunn ou le château de Versailles), le palais de Topkapi se développe au cours des siècles, avec des ajouts et des changements opérés par différents sultans. Ce phénomène peut être constaté parmi les arbres de la seconde cour. La « quatrième cour » (IV. Les kaftans donnés en cadeaux aux vizirs, ambassadeurs et résidents du palais par le service financier et le sultan, ainsi que d'autres objets de valeur, y étaient également conservés. L'architecte royal Hasan Ağa, sous le règne de Murad IV, a construit durant les années 1635-1636 le « kiosque d'Erevan » (Revan Köşkü) puis, en 1638-1639, le « kiosque de Bagdad » (Bağdat Köşkü), pour célébrer les victoires ottomanes à Erevan et Bagdad. La plupart des arbres du palais sont remarquables en ce que la plupart d'entre eux sont victimes d'un champignon parasite qui en a complètement évidé le tronc au cours des siècles, même si les arbres sont toujours en vie aujourd'hui. L'entrée principale (Cümle Kapisi) sépare le harem, dans lequel vivaient la famille et les concubines du sultan, de la cour des eunuques. Dominant la corne d’or, le Bosphore et la mer Marmara, entouré de remparts de 5 km. La terrasse du restaurant offre une vue panoramique sur le Bosphore et la rive asiatique. Pour les résidents comme pour les hôtes, le palais disposait de son propre approvisionnement en eau grâce aux citernes et les grandes cuisines fournissaient les repas. Le trésor était fermé par le sceau impérial confié au grand vizir[Necipoğlu 29]. Le couloir étroit sur la gauche mène aux appartements des odalisques (des esclaves blanches données en cadeau au sultan). Recouverte de marbre à l'extérieur, elle a la forme d'une croix grecque avec un hall central couvert d'un dôme et trois ailes rectangulaires. Les hallebardiers portaient de longues tresses pour bien marquer leur haute position. Le Palais De Topkapi Istanbul. A la suite d’un incendie important en 1665, certaines parties du Harem ont été redécorées sous Osman III et Mahmoud II dans un style inspiré du baroque italien. Le sultan y recevait ses confidents, ses invités, sa mère, sa première femme (Hasseki), ses accompagnateurs et ses enfants. Derrière la salle d'audience, du côté est, se trouve le dortoir du corps expéditionnaire. Le « pavillon double », nommé aussi « appartements des princes de la Couronne » (Çifte Kasırlar / Veliahd Dairesi), consiste en deux chambres construites au cours du XVIe siècle. Cette première cour est la plus grande de toutes et fonctionne comme une enceinte extérieure[Necipoğlu 12]. Conseil impérial se composait par le grand vizir, les vizirs, les chefs militaire de la justice musulmane, le ministre des finances, le chef du trésor, le ministre des affaires étrangères, des fonctionnaires (greffier/ rédaction ..) lieu où se réunissaient les ministres d’états et leur conseil, les débats portaient sur les affaires politiques, religieuses et administratifs 4 jours par semaines après la prière matinale. La porte du milieu mène à la cour de la sultane validé (Valide Taşlığı) et la porte de droite conduit à la route dorée (Altınyol) et au-delà aux quartiers du sultan. Situées de l'autre côté de la cour, à environ 5 ou 6 mètres au-dessous du niveau du sol, les écuries impériales (Istabl-ı Âmire) comprennent les écuries privées (Has Ahir) où sont conservées de vastes collections de harnachements (Raht Hazinesi). Pour une bibliographie détaillée en anglais, consulter (en) l'article anglais. Le palais de Topkapi . Les structures qui subsistent aujourd'hui sont l'ancienne monnaie impériale (Darphane-i Âmire), construite en 1727, l'église Sainte-Irène et différentes fontaines. L'une des inscriptions au-dessus de la porte Kuşhane indique que Mahmud Ier a fait réparer les cuisines de Kuşhane. Il consiste en un ensemble de pavillons, kiosques (köşk), jardins et terrasses. On trouve une petite fontaine à l'entrée, construite par Soliman. Il domine la Corne D’or, le Bosphore et la mer de Marmara, une vue à vous couper le souffle. Au fond de la cour se trouve l'appartement du chef des eunuques noirs (Kızlar Ağası), le quatrième plus important personnage du protocole officiel. En passant la porte du palais, sur votre gauche une église “l’église Sainte-Irène” datant du 4. siècle (premier cathédrale de Constantinople bien avant la basilique Sainte Sophie), ouverte à la visite l’entrée est de 60 tl,  on y organise occasionnellement des grands concerts de la musique  classique. Le « dortoir du corps expéditionnaire » (Seferli Koğuşu) abrite la « collection de la garde-robe impériale » (Padişhah Elbiseleri Koleksiyonu), une collection d'environ 2 500 costumes, la majorité étant de précieux caftans du sultan. Quel est le tarif d’un guide privé à Istanbul ? Alors que les piliers sont de style ottoman ancien, les peintures murales et les décorations sont de la dernière période rococo. Le Divanhane, construit en bois avec un portique à l'angle de la place du Divan (Divan Meydani) au XVe siècle, a ensuite été utilisé comme mosquée du conseil, mais il a été démoli en 1916[Necipoğlu 25]. Les murs au-dessus des fenêtres sont décorés de carreaux d'İznik du XVIIe siècle de motifs variée. Une miniature de 1584 montre une structure à trois fenêtres surmontée d'un toit entre les tours, au-dessus de l'arc[8], probablement une salle de garde disparue depuis[Necipoğlu 16]. La vitrine suivante montre les aigrettes ostentatoires des sultans et de leurs chevaux, couvertes de diamants, d'émeraudes et de rubis. Ces appartements étaient occupés respectivement par les eunuques, le chef des eunuques du harem, les concubines, la reine-mère, les épouses du sultan, les princes et les favorites. Devant cette porte du Palais, lors des cérémonies particulières, le Sultan était assis sur un trône spécialement conçu pour les fêtes tandis que ces sujets restaient debout. Dans certains cas, deux arbres différents ont grandi et fusionné ensemble, comme un figuier qui a grandi dans le tronc creux d'un autre arbre. En 1747, le sultan Mahmud Ier a fait faire cette dague pour Nadir Shah, mais ce dernier a été assassiné avant que l'émissaire n'ait atteint les frontières de l'empire. Elles étaient réglées selon un protocole immuable. Télécharger cette image : Empreinte reliques sacrées du prophète Mohammed au Palais de Topkapi Istanbul - A438HR depuis la bibliothèque d’Alamy parmi des millions de photos, illustrations et vecteurs en haute résolution. Il est constitué de deux pièces dont l'arrière est supporté par des colonnes. Le pavillon a été entièrement redécoré et la plupart des boiseries baroques ont été retirées. - C'est une lettre préservée du prophète Muhammad (sur lui Prière et Paix ! Édouard de la Croix, édité par Corinne Thépaut-Cabasset. Les 10 700 pièces exposées actuellement, chinoises, japonaises, turques, sont parmi les plus rares et les plus précieuses[10]. Le Palais de Topkapi Florent Cognet. À l'entrée du quartier de la sultane validé, des fresques murales de la fin du XVIIIe siècle, d'influence européenne, représentent des paysages. Palais résidentiel des sultans à Istanbul, commencé en 1461 sous Mehmed II, le palais Topkapi est plus grand édifice laïque de l’architecture turque. La vie s'organisait autour de ces bâtiments et de ces cours, dans une atmosphère ouverte, et agréablement fraîche en été. Beaucoup d'appartements des eunuques donnent sur cette cour, la première du harem, parce qu'ils étaient aussi des gardes sous le commandement du chef des eunuques. Au milieu de la troisième cour, juste derrière la salle d’audiences il y a la bibliothèque de AHMED III datant du 18. siècle où les sultans lisaient. La mosquée est placée en diagonale dans la cour, pour que le minbar puisse faire face à la Mecque. La bibliothèque était rattachée à l'école des pages du sultan (Enderun-i Hümayun Mektebi, couramment appelée Enderûn, "intérieure") qui formait des cadres de l'administration, de l'armée et du palais. Des fouilles dans le sous-sol ont mis au jour un petit baptistère byzantin au plan trifolié. Ils ont été déplacés ici par nostalgie, et révérence envers l'âge d'or de son règne. Elle marque la présence du sultan dans le palais[style à revoir][Necipoğlu 30] : nul ne peut passer cette porte sans l'autorisation du sultan. d'or suspendue au centre. (Crédit : Giovanni Dall’Orto/ Wikimedia Commons) ... ‘Proche du prophète’ Des spectacles, des actes de soumission durant les fêtes religieuses et des mariages avaient lieu ici en présence des membres de la dynastie[Davis 14]. Elles ont été redécorées dans un style rococo au milieu du XVIIIe siècle. Le rez-de-chaussée accueille les appartements des quartiers des concubines, tandis qu'à l'étage se trouvent les quartiers de la sultane validé et de ses accompagnatrices (kalfas). Le fourreau d'or est couvert de diamants et d'émaux. À proximité de la première cour, en direction de la ville se trouve le parc Gülhane, l'ancienne roseraie impériale, aujourd'hui un jardin public. Sur le côté gauche, on trouve la petite mosquée des eunuques noirs. Tout ceci explique que la superficie totale du palais de Topkapı était plus importante qu'aujourd'hui. Le principe de cet isolement impérial est certainement un héritage des traditions de la cour byzantine. Une importante cérémonie était organisée pour marquer le premier Conseil impérial de chaque nouveau grand vizir, et aussi pour marquer sa présentation avec le Sceau impérial[Quoi ?] Les fenêtres grillagées garantissaient le principe de l'isolement impérial. Il ne reçoit le nom de Topkapi qu'au XIXe siècle. - Elle est actuellement située à Istanbul, Turquie. Depuis que le palais est transformé en musée, une sélection y est exposée. Ce trône d'or de style indien, décoré de perles et d'émeraudes, était un cadeau du chef perse Nadir Shah au XVIIIe siècle. Certaines sources mentionnent ce lieu de repos comme le « siège éclairé par la lune ». Au sommet : la toute puissante sultane validé, la reine-mère, puis la favorite, les concubines en titre, celles qui avaient eu des enfants du sultan, les concubines occasionnelles et enfin les novices qui entraient vers 12-15 ans et s'occupaient de tâches domestiques. Musee Palais de Topkapi. Le Sérail (palais) de Topkapi était la résidence des sultans avant la construction du palais de Dolmabahçe. Le Palais de Topkapi, labyrinthe de bâtiment et centre du pouvoir ottoman entre le 15ème et 19ème siècle.Dans ce riche décor, le sultans et leur cour vivaient et gouvernaient. Haute de plusieurs étages, elle est la plus haute structure du palais et domine l'ensemble du paysage depuis le Bosphore. À la porte du parc se trouve le pavillon de parade. L'historien Afa indique que cette tour avait au moins deux étages de plus que les deux qu'elle conserve aujourd'hui. Ces décorations contrastent avec celles de l'âge classique ottoman. Le sultan, les ağas et les pages venaient y prier. Seul le sultan pouvait la traverser à cheval, sur les allées de galets noirs conduisant à la troisième cour. Les trois longs sofas, sur les côtés, étaient les sièges réservés aux fonctionnaires, avec un petit foyer au milieu[pas clair]. Après le XVIIe siècle, de plus en plus de musulmans occupèrent le poste, qu'ils partageaient avec des juifs et des européens. Ce bâtiment était aussi nommé « salle du Conseil intérieure », pour le différencier de la salle du Conseil de la seconde cour[Necipoğlu 34]. Situé au bord de la vieille ville d’Istanbul, ce palais appelé le Sérail ou Topkapi Sarayi, jouit d’une vue superbe, à la fois sur la mer de Marmara et sur le Bosphore. Les témoignages diffèrent sur les dates de début et d'achèvement de la construction du noyau central : Kritovolous donne les dates de 1459-1465, alors que d'autres sources suggèrent une date d'achèvement proche de la fin des années 1460[Necipoğlu 4]. Dans le plus ancien des pavillon (pavillon du Mehmet le Conquérant). Juste au nord du trésor impérial, le dortoir des pages a été transformé en « galerie des miniatures et des portraits » (Müzesi Müdüriyeti). Les décorations rococo sur la façade et à l'intérieur de la salle du Conseil datent de cette époque. La plupart des changements ont lieu durant le règne du sultan Soliman le Magnifique, dans les années 1520-1560. Pas besoin de … https://www.toutistanbul.com/visite-le-palais-topkapi-istanbul Trouver la topkapi museum manuscript photo idéale Une vaste collection, un choix incroyable, plus de 100 millions d’images LD et DG abordables de haute qualité. La porte et une cheminée se trouvent sur le quatrième mur. Il a été visité par des célébrités telles que la reine Élisabeth II, la première dame Jackie Kennedy, le président Richard Nixon, et le boxeur Mohamed Ali, parmi beaucoup d'autres[26]. 3. La troisième cour est entourée par les quartiers des ağas (pages), jeunes garçons au service du sultan. Au-dessus des quartiers de la sultane validé se trouvent les appartements de Mihirisah, de style rococo. Du pavillon, le sultan assistait à des événements sportifs et des divertissements organisés dans le jardin. Il en existait d'autres, ainsi que des infirmeries dans le palais. On le désigne par les noms de « basilique du palais de Topkapı » ou « basilique du palais ». Au fond se trouve la troisième porte ou porte de la Félicité qui conduit à la troisième cour. La porte Pişkeş, à gauche (Pişkeş Kapısı, Pişkeş signifiant cadeau offert à un supérieur), est surmontée d'une inscription datant du règne de Mahmoud II (1810)[Davis 8]. Les jardins extérieurs du palais s'étendent tout autour du complexe formé par les quatre cours. Le harem impérial du palais Topkapi est un vaste ensemble de pièces faisant partie des appartements privés du sultan Le harem était la résidence de la mère du sultan, des concubines et femmes du sultan, du reste de sa famille, y compris les enfants, et de leurs serviteurs. Chaque pièce est éclairée soit par une coupole, soit par une structure en nid d'abeilles avec des parties vitrées. Une des représentations du prophète Mohammed Up Page L'an 1800: Roi couronné reçu par le Prophète Vers l'an 1800, Iran … Certaines pièces, comme la petite pièce de musique, ont été ajoutées au XVIIIe siècle.
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